The Return of the Uruguayan (en VF)

Eh oui, après L'Uruguayen, Le Retour de l'uruguayen.
Le genre : thriller érotico-parodique.

Pour le plus grand plaisir de tous ceux qui avaient bien rigolé avec le 1, voici, sur vos écrans (d'ordinateur), le 2.
Bon, il faut bien le dire, les scénaristes n'ont pas fait de grands efforts pour ce 2, mais je sais que vous, il vous fera quand même rire. Mêmes acteurs (yo y un Urugayo que se llama daniel), même ambiance (de la discoteca barcelonaise à la boite parisienne), mêmes facteurs déclenchants (...ah, le petit verre de whisky!). Non, en fait c'est juste que je voulais voir si ce serait mieux que la dernière fois.
Bilan : bof.
Quelques précisions pour celles qui n'ont pas suivi : l'urugayen est actuellement à paris chez ma soeur et moi, elle les a invité pour visiter paris. et hier soir on est sortis et puis, en un mot comme en mille, l'urugayen et moi on a baisé.
enfin baisé c'est un bien grand mot. Avoir du sexe avec cet homme c'est un peu comme manger des pates sans beurre, sans tomates et sans sel. C'est assez technique vu qu'en fait, ses problèmes de vigueur membrale n'ont pas tout à fait disparus (pas cool pour lui), donc faut gérer ; et c'est assez peu passionnant car c'est le sexe mais sans ce qu'il y a avant et après, sans la sensualité sans l'érotisme et sans la tendresse... C'est ce qu'on appelle tirer sa crampe, sans vouloir être vulgaire. Une fois le soir en rentrant de boite, une fois le matin avant de se lever, cet homme là il mène une vie saine et équilibrée et il ne se pose pas trop de questions sur les attentes de sa partenaire. Par rapport à ce que j'avais connu à barcelone, c'est une étrange sensation d'éternel retour...

Bon... moi au final ça me fait marrer, surtout que j'ai passé tout le temps que j'étais avec lui à penser au mail que j'allais vous écrire pour vous narrer l'aventure, donc j'étais morte de rire intérieurement. C'est mal, on dirait bridget jones.

Enfin, quand même, la prochaine fois j'essaie de trouver un mec un peu plus intéressant au sens biblique du terme, parce que là ça tenait plus de l'observation satirico-clinique que de la fusion sensuale...